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Affichage des articles du mars, 2024

The Conversation France, un site de chercheurs pour éclairer le débat public

  Lancé en 2015, The Conversation France est un média généraliste en ligne  qui fédère, sous la forme d'une association à but non lucratif, les établissements d'enseignement supérieur et de recherche francophones. Issu d'une étroite collaboration entre journalistes, universitaires et chercheurs, il propose d'éclairer le débat public grâce à des analyses indépendantes sur des sujets d'actualité. Notre objectif est d'offrir a un large public une autre forme de journalisme, un contenu éditorial de qualité, fondé sur l'analyse et la mise en perspective. Chaque jour, sur son site internet et à travers ses newsletters gratuites,  The Conversation France propose des articles d'analyse de l'actualité, écrits par des universitaires et des chercheurs . Ces articles couvrent tous les domaines d'information (culture, économie, éducation, environnement, international, politique et société, santé, science) et sont rédigés dans la perspective de s'adresser

Faune et savoir

Faune et Savoir est un organisme de formations et d'expertise sur la faune sauvage locale. Son objectif est de favoriser une meilleure prise en charge des animaux sauvages. Les formations sont organisées à distance en visioconférence, en e-learning, et en présentiel dans le Vaucluse et les départements limitrophes. https://www.faunesavoir.com/ Les 34 centres composant l’UFCS recueillent partout en France les animaux sauvages, blessés, malades, mazoutés ou en difficulté pour les soigner en vue de les relâcher dans leur environnement naturel Au delà de l'image de cliniques pour animaux, l'U.F.C.S. ainsi que les centres qui la composent recherchent et étudient les causes de destruction de la faune sauvage et participent aux programmes de restauration d'espèces menacées dans leurs milieux. https://www.faunesauvage.fr/fsstructure/union-francaise-des-centres-de-sauvegarde-de-la-faune-sauvage

Vélo pour 3 personnes à faire soi même ou à acheter

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Vhélio : solide, solaire et solidaire Le projet Vhélio, c’est se déplacer d’une façon plus pratique, plus économique et plus écologique. Ce sont 2 véhicules électriques à recharge solaire : le  Vhélioriginal   (à acheter) et le  Vhéliotech  (à autoconstruire). Le vhéliotech est un véhicule à assistance électrique permettant d’assurer la plupart de nos déplacements du quotidien. Il roule sur toutes les pistes cyclables. Le vhéliotech est disponible en auto-construction. De conception simple (low-tech), il peut être assemblé avec des techniques basiques et des outils simples (scie, visseuse, clé). Position ergonomique (transat), capacité de chargement utile considérable (jusqu’à 200kg), compacité, rien n’est laissé au hasard. Ce véhicule évolue de façon agile et déplace facilement des personnes, des biens partout et sur des distances quotidiennes. Cette nouvelle forme de mobilité n’oublie personne : celles et ceux qui n’ont pas le permis, celles et ceux qui ont des défauts d’équilibre/de

Seine, couleur de l'eau et qualité

  Chercheuse au laboratoire CNRS du CRH-Lavue et spécialiste des pratiques de baignade dans les cours d’eau franciliens, Julia Moutiez observe une tendance à associer la couleur kaki ou marron d’un cours d’eau à la saleté. « La qualité de l’eau et sa couleur sont deux choses distinctes », évacue-t-elle d’emblée. Autrement dit : une eau bleu turquoise n’est pas forcément de bonne qualité, de même qu’une eau brune n’est pas synonyme de pollution. Des particules polluantes en cas de fortes pluies Selon elle, les principaux indicateurs à prendre en compte pour se baigner sont ceux actuellement utilisés pour vérifier la qualité de l’eau. Ces derniers mesurent la présence de certaines bactéries, issues des matières fécales, qui sont incolores. « En cas de fortes pluies, le réseau des égouts peut devenir saturé et être déversé en partie dans les cours d’eau pour éviter d’inonder les sous-sols. Les agents pathogènes contenus dans les eaux usées, ainsi que d’autres particules polluantes, peuven

Les bonnes manières, comment recevoir à la française

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Lien vers l'émission de radio, à la fin de l'article  Jacqueline Queneau   est historienne. Elle vient de publier   « Comment recevoir à la française ? »  (Editions La Martinière), un guide de savoir-vivre. Des règles apparues au XVIIe sous le règne de Louis XIII. Une information que l’on tient de Robert Muchembled qui a écrit  La société policée, politique et politesse en France du XVIᵉ au XXᵉ siècle , livre publié en 1998. Selon lui, ce savoir-vivre à la Française serait apparu au moment   même où s'enclenchait le processus de civilisation des mœurs, aux XVIe et XVIIᵉ siècle. Le premier guide de bonnes manières date de 1530 Erasme publie un petit traité de savoir-vivre à l'usage des enfants. Le philosophe néerlandais l’écrit à l'attention d'Henri de Bourgogne. On trouve des conseils comme : « Le regard doit être doux, respectueux et honnête », « Se lécher le bord des lèvres en allongeant la langue est tout à fait inepte » ou « S’éplucher continuellement la têt